Pour vivre, nous devons chaque jour
briser le corps et
répandre le sang
de la Création. 

Quand nous le faisons consciemment,
avec amour,
avec talent,
avec respect,
c’est un sacrement. 

Quand nous le faisons par ignorance,
par convoitise,
par maladresse,
avec la volonté de détruire,
c’est une profanation.

Par cette profanation,
on se condamne à une solitude
spirituelle et morale,
et on condamne les autres
au manque.