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    Individualisme et misère du monde par Eberhard Arnold

    Individualisme et misère du monde


    Traduit de l’allemand par François Caudwell

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    Bien qu’intemporel, le message de ce fascicule est toujours d’actualité. Arnold sonde la relation entre l’individu et la souffrance mondiale, en nous dévoilant une solution qui est à la fois réaliste et claire.


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    Excelsis

    A propos du livre

    Individualisme et misère du monde fut à l’origine un article de revue paru en trois volets en 1927. On retrouve dans ce texte le sentiment de solidarité qui n’a jamais cessé d’unir Eberhard Arnold aux opprimés et aux défavorisés.

    Arnold compare l’humanité à un organisme vivant. Un corps souffre quand l’un de ses organes est malade. Il en est de même pour l’humanité : elle souffre quand certains de ses membres sont dans le besoin. Un corps en bonne santé possède une conscience qui lui maintient son unité. Les mains, les pieds, la tête, etc. ne sont pas des acteurs indépendants, dont l’unité ne dépendrait que d’un projet commun. Ils sont liés par une conscience d’unité qui appartient à la vie du corps. L’humanité reçoit aussi cette vocation à l’unité. Voici la parole qui se réalise quand le Saint-Esprit est à l’œuvre : Ils n’avaient qu’un cœur et qu’une âme (Ac 4, 3).

    En tant qu’êtres humains, il nous faut veiller à ne pas nous écarter de cette unité. Nous ne sommes pas des individus isolés ; nous appartenons à un Tout. Quand nous préférons nous soucier de nous-mêmes, nous montrons que nous restons repliés sur nous-mêmes. La misère du monde trouve son origine dans l’isolement de l’individu qui se coupe de l’unité de l’humanité.

    Le message d’Arnold est stimulant. Il n’a jamais été autant d’actualité. Son message est aussi profondément chrétien : Le commandement divin de l’amour du prochain, quand il est mis en pratique, doit se concrétiser par une solidarité désintéressée en faveur de tous (Mt 22, 39). Tous les hommes sont appelés à représenter le Corps du Christ (Rm 12, 5; 1 Co 12, 12-27). Dans ce Corps, nul ne saurait bénéficier de privilèges, ni subir de préjudices.

    Daniel Hug

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