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À ce moment-là, on ne choisit pas une vie éclatante et joyeuse, on choisit un chemin qui mène à la vie. On com­mence par une traversée qui peut raviver douleur, colère ou panique. Ce trajet ne deviendra véritablement chemin de vie que si on le parcourt dans la présence lumineuse et consola­trice du Christ. Le temps de la solitude, de l'errance, est défi­nitivement terminé : Je ne vous laisserai pas orphelins, dit Jésus (Jn 14.18). C'est dans cette assurance que nous nous mettons en marche.

Reviens à la vie !